Les Mutualistes d’entre elles, le sont un peu moins. Pour rappel il s’agit d’une gestion par répartitions de risque. L’aggravation de risque automobile en l’occurrence due à une cadence de sinistres importants, crée une « décadence » à laquelle les compagnies d’assurances pallient en résiliant unilatéralement les clients à l’origine de cette déstabilisation.
La fréquence de sinistres
L’assuré ayant une fréquence de sinistres conséquente surtout responsables, s’expose à des primes majorées ou une radiation de sa police d’assurance, car le risque évalué initialement n’est simplement plus le même. Cette altération conduit donc des majorations à concurrence de 150% et plus, auxquelles viennent s’additionner des éventuelles franchises. L’augmentation de la TVA alourdit les factures de réparations en France.En dehors de ce qui a été prévu dans les conditions contractuelles, l’assureur peut résilier un contrat auto pour sinistre, selon le code des assurances que dans deux cas.
- Si assuré était sous l’empire de l’alcool ou de substance interdite ou non proscrite.
- Si le sinistre a été occasionné suite à une infraction au Code de route, engendrant une suspension du permis de conduire d’au moins un mois, ou une annulation.
Force est de constater que les résiliations compagnies portent préjudice aux assurés alors qu’une séparation initié par ce derniers n’empêche nullement son ex-assureur d’en assurer d’autres. La loi Hamon permettra-t-elle de changer la donne ? À suivre…
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